Avec Orwell et son « Animal Farm » ( une fiction, rappelons-le),
les porcins avaient encore subi une dégradation de leur image.
L’heure est venue de passer au crible d’autres espèces de la ferme
qui profitent de cet acharnement pour se faire oublier.
Aujourd’hui : le jars
Mâle de l’oie, qui, lorsqu’elle est blanche, contrairement à Diane, ne se présente pas en jars Tell,
cet énergumène a la particularité de chercher à fricoter avec d’autres espèces :
Depuis le jars « dinde et daine », il est apparu d’autres monstruosités biologiques :
- un croisement improbable, avec le jars-raie,
- un bâtard à tête canine avec le jars – vice-cocker,
- sans oublier l’effroyable jars-daim.
Certains sont tristement célèbres, comme Maurice B., Jean-Michel, ou pire encore, le jars Uzelski.
D’autres forcent tout de même notre compassion : Jim, jars moche, et le simple jars Jar Binks.
Mais le temps me manque, alors arrêtons là, bien qu’il y aurait beaucoup à écrire sur le cas jars.